mercredi 12 février 2014
London Bookfair 8-10 avril 2014
mardi 13 septembre 2011
Naissance des Editions Manny Samuel
L'Association Manny Samuel a été créée à Bellevue le 6 mars 2011. Il s'agit d'une association à but non-lucratif qui a pour but d’éditer et de diffuser des livres en relation avec la mémoire juive et le judaïsme (Editions Manny Samuel). Elle a une mission d’information par livres, blogs, émission de radios, conférences et participation à des salons du livre. Elle relie également les chercheurs et les Résistants de la seconde guerre mondiale.
Les titres en sont:
IBAN CH91 0900 0000 1219 5864 5 BIC POFICHBEXXX il est nécessaire de faire figurer l'IBAN et le BIC lors du transfert bancaire. Le prix d'un livre est de 29 CHF ou 21 euros, + frais de port Actuellement le livre en français est en vente: à Genève:à la librairie du Rameau d'Or et à la librairie Menorah au CERN: le livre dans les trois langues se trouve au kiosque à journaux du restaurant 1 et à la centrale d'achats INTERFON Dans le pays de Gex: kiosque à journaux du centre Leclerc, librairie du Lycée à Ferney, librairie Centrale à Ferney. A Augsbourg, Allemagne, en allemand, français et anglais: Musée Juif d'Augsbourg A Paris: librairie du Mémorial de la Shoah A Grenoble: musée de la Résistance Grenoble. A Champigny: musée de la Résistance L'Association Manny Samuel tient à remercier chaleureusement Mmes Brooks et Malka pour leur traduction bénévole de cet ouvrage. Les Editions Manny Samuel seront présentes au Salon du livre de Nancy 2011 et au Salon du livre de Francfort 2001, sur le stand de l'ASDEL, représentant les diffuseurs, éditeurs et libraires suisses. |
samedi 2 juillet 2011
Le livre de Herbert Herz traduit en anglais et en allemand
Titre du livre allemand: "Als Partisan im französischen Widerstand", Errinerungen eines deutsch-jüdischen Widerstandskämpfers
Titre du livre en anglais: "Fighting in the French Resistance", Memories of a young German Jew
Ces livres sont actuellement vendus dans plusieurs librairies de Genève. Demander la liste par email à: miouriel@gmail.com.
vendredi 1 juillet 2011
Naissance des Editions Manny Samuel
Le livre de Herbert Herz "Mon combat dans la Résistance FTP-MOI" change de titre et devient simplement "Mon combat dans la Résistance".
Pour contacter les Editions Manny Samuel écrire à l'adresse suivante:
Editions Manny Samuel
8 chemin de la Chênaie
1293 Bellevue
Suisse
email: miouriel@gmail.com
vendredi 12 novembre 2010
Ferney-Voltaire honore Herbert Herz à l'occasion du 11 novembre
lundi 20 septembre 2010
vendredi 25 septembre 2009
Newsletter de la Communauté Israélite de Genève, 24.09.09
Herbert Herz, son histoire hors du commun
Herbert Herz a travaillé comme fonctionnaire au C.E.R.N (Organisation européenne pour la recherche nucléaire). Aujourd’hui âgé de 85 ans, marié, 3 enfants, sa vie de famille est très remplie. Il cultive l’art d’être grand-père avec beaucoup de fierté.
Mais la vie d’Herbert Herz n’a pas toujours été facile… il a dû combattre pour survivre…
C’est avec émotion et gentillesse qu’Herbert Herz nous raconte « son histoire hors du commun ».
Au cœur d’une famille traditionnaliste et sioniste, Herbert Herz passe son enfance en Allemagne. Le nazisme s’intensifie. Il décide de partir et s’installe en France, à Dijon, en 1934.
En 1942, il est arrêté par le régime de Vichy.
Libéré miraculeusement grâce à l’intervention du Directeur de son collège auprès de la Gendarmerie, Herbert Herz commence une vie clandestine…
Sa fausse carte d’identité française lui permettra de parcourir la France.
En Septembre 1943, l’occupation allemande est totale ; il entre en résistance armée avec les communistes à Grenoble. Ce groupe de résistants et de resistantes, les FTP-MOI (Francs-tireurs et partisans – Main-d’œuvre immigrée), est l’un des plus actifs et des plus déterminés. L’objectif : nuire à la machine de guerre infernale allemande ! Sabotage d’usines, de voies ferrées, de garages travaillant pour les troupes d'occupation… la résistance se met en place pour « démontrer la vulnérabilité de l’Allemagne ».
Herbert Herz sera responsable du dépôt d’armes qui ne fut jamais découvert par l’ennemi et a participé à de nombreuses actions allant jusqu'à attaquer les troupes de la Wehrmacht.
En 1996, il reçoit la Légion d’Honneur.
A travers son livre dédié à ses « camarades » (Mon combat dans la Résistance FTP-MOI, Souvenirs d’un jeune Juif allemand, Editions Muriel Spierer), il souhaite transmettre son message aux générations futures. Son témoignage contribue à mieux faire connaître la participation des étrangers à la Résistance française et parallèlement l’engagement des Juifs dans la lutte contre « l’hitlérisme ».
Herbert Herz perpétue la mémoire et le souvenir…
…de Simon Fried, jeune Juif résistant, arrêté lors d'une action, qui fut condamné à mort et exécuté; …de deux jeunes filles, héroïnes et martyres de la Résistance juive: Marianne Cohn et Mila Racine, qui sauvèrent des enfants juifs en les faisant passer en Suisse.
Il perpétue également la mémoire et le souvenir de la Shoah.
Herbert Herz est très impliqué en faveur d’Israël. En tant que délégué de l’Institut Yad Vachem de Jérusalem depuis plus de 20 ans, il se « bat » pour rechercher et faire honorer de la « médaille des Justes des Nations », les personnes ayant sauvé les Juifs de la Shoah au péril de leurs vies.
Nous leur devons une fière chandelle ; eux qui nous permettent aujourd’hui de vivre dans un monde plus « Juste ».
Plus d'infos : http://herbertherz.blogspot.com et http://herbertherz.blog.tdg.ch
Le film « L’armée du crime » sorti le 16 septembre dernier en salle a été inspiré par l’ouvrage d’Herbert Herz
lundi 14 septembre 2009
Article sur la Résistance juive, traduit par Hilda Malka
von Herbert Herz
Welche Beziehung gibt es zwischen der Entstehung des Staates Israel, dessen 60. Geburtstag wir in diesem Jahr feiern, und der Beteiligung eines jüdischen Jugendlichen an einer kommunistischen Bewegung der Gehorsamsverweigerung im besetzten Frankreich? Der jüdische Staat ist 1948 - das ist klar - nur dank des Sieges der Alliierten über das Nazideutschland einige Jahre zuvor entstanden. An diesem Sieg und an den vorangehenden mörderischen Kämpfen haben zahlreiche, vorwiegend junge jüdische Männer und Frauen teilgenommen, teils in regulären Armeen, teils in den verschiedenen Widerstandsbewegungen. Sie haben für unser Überleben, unsere Freiheit und Würde gekämpft. Als einer von ihnen sehe ich es als meine Pflicht, Zeugnis abzulegen, und sei es nur im Namen meiner Kameraden, die im Kampf gegen den Feind gefallen sind.
Nachdem ich der Deportation knapp entkommen war, fand ich im Sommer 1943 Unterschlupf in Grenoble. Weit entfernt von meiner Familie hatte ich Freunde in den Jugendherbergen gefunden. Auf dem Rückweg von einem Sonntagsausflug fuhr einer von ihnen, der mich wohl den ganzen Tag über beobachtet hatte, mit seinem Fahrrad an meiner Seite und sprach auf mich ein über die Pflicht jedes einzelnen, besonders der jungen - kurz, er warb um mich für die Widerstandsbewegung, der er angehörte, der kommunistischen Jugend. (Dieser Kamerad, Charles Wolmark, militanter und sehr idealistischer Pariser Jude, sollte später in die Hände der Deutschen fallen. Er wurde erschossen und starb als Held.) Im Widerstand arbeiten, das wollte ich, daher sagte ich ohne Zögern zu. Aber wenn man mir an diesem Tag vorgeschlagen hätte, in den jüdischen Widerstand einzutreten, hätte ich ebenfalls, oder sogar noch eher, zugesagt, denn ein solches Engagement hätte noch besser meiner Familientradition entsprochen. Mein Vater, der zu dieser Zeit nicht mehr lebte, war seit den 20er Jahren in Deutschland ein sehr engagierter Zionist gewesen.
Der jüdischen Widerstandsbewegung, der ich zwar nicht angehörte, aber der ich mich heute näher fühle, möchte ich mein besonderes Gedenken widmen. Diese Bezeichnung umfasst die zionistische Jugendbewegung, die Untergrund-Hilfsorganisation für Kinder OSE, die jüdische Pfadfinderorganisation Eclaireurs Israelites (die 6. im Untergrund), und andere jüdisch-nationale Bewegungen. In den letzten Monaten vor der Befreiung hatte der Widerstand eine Organisation geschaffen (der Maquis), der sich in Südwestfrankreich offen jüdisch gab und der gaullistischen Bewegung zugeordnet war. Jedoch war das Hauptziel des jüdischen Widerstandes, ein Maximum an Menschenleben vor dem Unheil zu retten, vor allem Kinder. Mutige und hingebungsvolle junge Frauen und Männer, Juden und ihre christlichen Helfer, durchquerten das Land nicht ohne Risiko, um unsere gefährdeten Kinder in bäuerlichen Familien oder in religiösen Institutionen unterzubringen. Oder sie geleiteten sie in Gruppen heimlich in die Schweiz.
So wurden hunderte von Kindern und auch Erwachsene gerettet, von denen viele sich später am Aufbau des Staates Israel beteiligten. Leider wurden zwei dieser Begleiterinnen bei dem Versuch, die Grenze zu überqueren, von den Deutschen festgenommen. Da war zunächst Mila Racine, eine russische Jüdin. Auf ihrer Deportation wurde sie bei einem alliierten Luftangriff in Deutschland tödlich getroffen. Nach Milas Deportation übernahm Marianne Cohn, eine deutsche Jüdin, ihre Aufgabe. Nachdem sie mehrere Male Gruppen erfolgreich über die Grenze gebracht hatte, fiel sie Ende Mai 1944 mit ihren etwa 30 Schützlingen in die Hände der Gestapo von Annemasse. Es ist dem Bürgermeister dieser Stadt, Jean Deffaugt, einem vorbildlichen Gerechten, zu verdanken, dass alle Kinder gerettet wurden. Aber Marianne wurde grausam von den Nazischergen umgebracht. Eine Schule in Annemasse trägt heute ihren Namen. So ist ihr Gedenken gewährleistet.
Parallel zur zionistischen Bewegung leisteten die jüdischen Organisationen der Linken in Frankreich, zusammengefasst in der UJRE (Union des Juifs pour la Résistance et l’Entreaide), auch bemerkenswerte Rettungsarbeit. In Zusammenarbeit mit der UJRE bemühte sich die Union der jüdischen Jugend (UJJ) durch Herausgabe von Untergrundflugblättern und -zeitungen die durch ihre prekäre Situation ratlose jüdische Jugend, zu versammeln und für den Widerstand zu motivieren. Eigentlich diente die UJJ zur Rekrutierung von Jugendlichen zum bewaffneten Widerstand, d.h. zu den FTP-MOI (Francs-Tireurs et Partisans de la Main-d’Oeuvre Immigré), denen ich selber im September 1943 zu meiner grossen Zufriedenheit beitrat nach einigen Wochen bei der kommunistischen Jugendbewegung, wie eingangs erwähnt. Ich wage die FTP-MOI der jüdischen Widerstandsbewegung nicht zu beurteilen, denn diese Bewegung war international. Sie vereinigte Immigranten verschiedener Herkunft, aber politisch einig, republikanische Spanier, antifaschistische Italiener, Armenier und andere.
Alle waren sie unsere Waffenbrüder. Jedoch machten die Juden, vor allem polnische, ungarische, rumänische bei weitem das zahlreichste, das kämpferische Element aus, darauf versessen, dem Erzfeind, dem nazideutschen Besetzer, schmerzliche Verluste zuzufügen. Es war das Bewusstsein unserer jüdischen Identität, die uns diese Wut im Bauch verursachte, den Rachedurst für unsere ohne jegliche Hoffnung auf Rückkehr deportierten Verwandten.
Die Einheit, der ich angehörte, das Kommando « Liberté » der FTP in Grenoble, zählte etwa 30 Mitglieder. Seitdem war ich also ein Vollzeitsoldat ohne Uniform. Ich hatte meine bezahlte Tätigkeit aufgeben müssen; zum Unterhalt bekam ich wie meine Kameraden einen Sold. Wir mussten alle sehr strenge Sicherheitsvorkehrungen beachten. Unser Kommando bestand aus mehreren Gruppen. Die, zu der ich gehörte, war eine homogene jüdische Gruppe von acht sehr motivierten Kämpfern : vier - unter ihnen der Kommandeur – kamen aus Polen, drei ungarische Studenten und ich, gebürtiger Deutscher. Wir wuden eins wie die Finger einer Hand. (Von diesen acht sind drei später leider gefallen).
Ich war der « Techniker » der Gruppe und später der Einheit. Man übertrug mir die Wache über unser Waffen- und Sprengstofflager, ein ziemlich exponierter Posten. Zum Glück wurde der Ort nicht vom Feind entdeckt. Im März 1944 , nachdem mir der Boden zu heiss unter den Füssen geworden war, wurde ich von Grenoble nach Lyon zur heute legendären Brudereinheit « Carmagnole » versetzt.
Unsere Kommandeure waren Ehemalige aus der Internationalen Brigade des spanischen Bürgerkrieges, fast alle Juden. Unsere Waffenausrüstung war sehr begrenzt. Da wir nicht von den Fallschirmaktionen der Alliierten profitieren konnten, mussten wir unter grossem Risiko französische Polizisten angreifen, ohne ihnen ein Leid anzu tun, um ihnen ihre Waffen abzunehmen. Wir, die FTP-MOI, waren wirklich die armen Verwandten des Französischen Widerstandes.
Damit komme ich auf unsere Tätigkeit : Unser Hauptziel war, der deutschen Kriegsmaschine zu schaden, um der sowietischen Armee, wenn auch nur ein wenig, Hilfe zu leisten, die bis Juni 1944 allein gegen die überlegene Feindesmacht kämpfte. Wir haben uns also daran gemacht, die französische Industrie, die für die Deutschen arbeitete, zu sabotieren. Ich nenne hier nur ein Beispiel, den Angriff auf die Chemiefabrik Coignet in Lyon am 30. April 1944. Etwa 30 unserer Partisaninnen und Partisanen drangen am Abend in die Fabrik ein und machten das Personal widerstandslos/ kampfunfähig. Die ganze Nacht besetzten wir die Fabrik, legten die Maschinen lahm und Sprengstoff an geeigneten Stellen.
Früh am Morgen nach der Sperrstunde und nachdem wir die Zeitzünder eingeschaltet hatten, zogen wir uns zurück und zerstreuten uns in aller Ruhe. Das Ergebnis : Ein grösseres Phosphorlager zerstört und die Produktion für mehrere Monate unterbrochen.
Diese Art Aktion war weit wirksamer und schonte mehr Menschenleben als die Bombardierung der alliierten Luftwaffe. Andere Sabotageakte waren auf der Eisenbahnlinie. So sah unsere tägliche Arbeit, vor allem nachts, aus.
Wir wagten es sogar, die deutsche Wehrmacht anzugreifen, im vollen Bewusstsein, damit auch Vergeltungsmassnahmen hervorzurufen. So explodierten am 31. Januar 1944 ferngezündete Bomben auf dem Durchzug einer deutschen Truppe, die unterwegs zur Übung nach Grenoble war. Die Anzahl der Toten und Verwundeten an diesem Tag hatte keine Bedeutung. Es ging darum, ihren Dünkel zurückzustecken, ihnen zu verstehen zu geben, dass sie nicht unverwundbar seien. Die Operation war gelungen, ohne Verluste auf unserer Seite. Ohne je einzelne einfache Soldaten anzugreifen, ist es vorgekommen, dass wir einen deutschen Offizier töteten. Jedoch die Männer, die wir verfolgten, um sie ohne Gnade zu bekämpfen, waren französische Milizionäre, Handlanger der Nazis und oft noch grausamer als diese.
Mit viel Glück habe ich den ganzen Krieg ohne eine Schramme überstanden. Hingegen haben viele meiner Kameraden ihren selbstlosen Einsatz mit dem Leben bezahlen müssen. So sehe ich es als meine Aufgabe, ihrer zu gedenken, auch wenn ich mich auf nur wenige unter ihnen beschränke.
Auf der Rückkehr von einer Aktion bei Grenoble wurde Raymond Grynstein, alias Antoine, und die Gruppe von Partisanen, die er befehligte, von den Deutschen überrascht. Antoine deckte den Rückzug seiner Kameraden mit der Waffe, ehe er sich im letzten Moment selber mit einer Handgranate in die Luft sprengte, um nicht lebend in die Hände des Feindes zu fallen.
Etienne Goldberger wurde von Vichys Polizei festgenommen und gefoltert, aber er gab dem Feind nichts preis, nicht einmal seinen Namen. Er wurde erschossen und starb unter dem angenommenen Namen in seinen falschen Papieren.
Simon Fryd wurde bei einer Lebensmittelkartenkontrolle von der Polizei in Lyon verhaftet. Von der Spezialeinheit des Gerichtes wurde er zu Tode verurteilt und wie ein Verbrecher hingerichtet. Seine Kameraden rächten ihn, indem sie den Staatsanwalt, der ihn zu diesem ungerechten Tod verurteilen liess, umbrachten.
Jeanine Sontag, gebürtige Schweizerin, kam von der gaullistischen Widerstandsbewegung zu den FTP, weil sie kämpfen wollte. Sie wurde bei einem Angriff auf eine Autowerkstatt, die für die Deutschen arbeitete, festgenommen, furchtbar gefoltert, aber ohne der Gestapo etwas preiszugeben. Heldenhaft bis zum Ende teilte sie das Schicksal der anderen Gefangenen der Deutschen im Fort Monluc in Lyon. Alle wurden erschossen.
Zu ihrer Gerechtigkeit möchte ich betonen, dass zahlreiche Juden, ausserhalb der erwähnten Organisationen im Maquis der verschiedenen Gegenden Frankreichs tätig waren. Ebenso flohen viele unserer Jugendlichen aus Frankreich, um über Spanien nach England zu gelangen und unter de Gaulles Befehl zu kämpfen.
Alle diese freiwilligen Kämpfer haben dazu beigetragen, den Sieg über die Naziherrschaft zu beschleunigen und schliesslich Theodor Herzls Traum, einen jüdischen Staat, wahr werden zu lassen. Ihnen gilt unsere Anerkennung.
Herbert Herz
Übersetzung von Hilda Malka
samedi 29 août 2009
Tribune de Genève, samedi 29 août 2009
http://www.tdg.ch/geneve/actu/20-ans-attaque-nazis-2009-08-28
jeudi 20 novembre 2008
Grenoble 17 ème salon du Régionalisme Alpin
dimanche 6 juillet 2008
Résistance juive ou Juifs en Résistance en France occupée
mardi 29 avril 2008
Salon du livre Genève 2008, programme des dédicaces au stand des Editions Porte-Plumes
Les éditions PORTE-PLUMES
auront le plaisir de vous accueillir au Salon du Livre de Genève - Palexpo
du mercredi 30 avril au dimanche 4 mai 2008
à leur stand Céline 6
rencontres et signatures
- Mercredi 30 avril, 15h-17h
Dorette Fert
pour désirs, réalités... le choix?
au coeur du Planning familial de Genève, 1965-2005
- Samedi 3 mai, 15h-17h
Bernadette Duchoud (texte), Olivier Taramarcaz (monotype et crayon)
pour regard sur... le Valais des vignes (Collection Carnets Verts)
Dimanche 4 mai, 13h-15h
Bernard Crettaz
pour Le Pouvoir hors champ
Dimanche 4 mai, 15h-17h
Herbert Herz
pour Mon combat dans la résistance FTP-MOI, Souvenirs d’un jeune Juif allemand
(2007, éditions Muriel Spierer – en diffusion au stand Porte-Plumes)
lundi 7 avril 2008
Retour sur images au salon du livre Paris 08
jeudi 13 mars 2008
mercredi 27 février 2008
Salon du livre Paris 2008 et Foire du livre Bruxelles 2008
Herbert Herz fera le déplacement à Paris pour dédicacer son livre "Mon combat dans la Résistance FTP-MOI", souvenirs d'un jeune Juif allemand, au salon du livre de Paris 2008.
Le salon du livre de Paris aura lieu du 14 au 19 mars 2008 dans le Hall 1 du Parc des Expositions de la Porte de Versailles.
Herbert Herz dédicacera son livre "Mon combat dans la Résistance FTP-MOI", souvenirs d'un jeune Juif allemand au stand D56 ,qui est celui des éditeurs suisses, le dimanche 16 mars à 14h30. Par ailleurs le livre sera en vente pendant toute la durée du salon du livre sur ce stand.
Le livre fera aussi le voyage pour la Foire du livre de Bruxelles qui aura lieu du 5 au 9 mars 2008 à Tour et Taxis. Avec près de 80 000 visiteurs attendus, il s'agit d'un des importants salons francophones du livre, destinés au grand public.
C'est également sur le stand des éditeurs suisses, qui regroupe la richesse et la diversité de l'édition romande, que vous pourrez trouver ce livre de témoignage sur la Résistance des étrangers en France pendant la seconde guerre mondiale.
lundi 4 février 2008
Bientôt une traduction en hébreu
mercredi 30 janvier 2008
Article paru dans Rencontres Franco-Allemandes, hiver 2007
Rencontres est le journal de l'association française des "Echanges Franco-Allemands" pour le développement des échanges et de la coopération avec l'Allemagne d'aujourd'hui. Monsieur Jean Kudela en est le directeur de la publication.
dimanche 27 janvier 2008
Les Justes à l'honneur
www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=500000&channel=info#program=15;vid=8672530
(cliquer sur le lien)
mardi 18 décembre 2007
Canada - Ottawa
samedi 8 décembre 2007
mercredi 28 novembre 2007
Livres en résistance
Organisé par l'association "Les Amis de l'Histoire, association Roger Pestourie", 69500 Bron, France
samedi 17 novembre 2007
Salon du livre de régionalisme alpin à Grenoble
Le livre de Herbert Herz sera en vente aux stands de la librairie des Alpes et de la librairie le Bouquiniste.
L'an prochain le thème du salon sera la Résistance en montagne.
jeudi 8 novembre 2007
Salon du livre de Montréal 2007
jeudi 18 octobre 2007
vendredi 12 octobre 2007
lundi 20 août 2007
Israel שראל'
mardi 26 juin 2007
samedi 23 juin 2007
10 juin 2007, rencontre à la librairie du Mémorial de la Shoah à Paris
mardi 5 juin 2007
Réaction d'une lectrice
Rencontre à la librairie du Mémorial de la Shoah
10 juin 2007 | |||
Rencontre du dimanche 10 juin 2007 16h Mon combat dans la Résistance FTP-MOI. Souvenirs d’un jeune Juif allemand de Herbert Herz (Éd. Muriel Spierer, 2006) Lieu : Librairie du Mémorial de la Shoah |
lundi 14 mai 2007
Signature chez Payot Rive-Gauche, Genève
Signature : Herbert Herz
Mon combat dans la Résistance FTP-MOI.
À dix-huit ans, Herbert Herz avait déjà beaucoup vécu : né à Augsbourg en 1924, il avait fui l’Allemagne nazie avec sa famille et s’était retrouvé, encore enfant, à Dijon où la montée du fascisme puis la guerre le rattrapèrent. Privé peu à peu de son avenir d’étudiant, directement menacé de déportation, il s’engagea donc en 1942, presque par hasard, dans un mouvement particulier de la Résistance : les Franc-tireurs et partisans – Main d’œuvre immigrée [FTP-MOI]. À travers l’épopée de ces jeunes Juifs et étrangers qui prirent le risque de la clandestinité pour défendre leur pays d’accueil, Herbert Herz rend hommage à ses compagnons, souvent moins heureux que lui, mais aussi à de nombreux Français anonymes qui, parfois sans le connaître, l’aidèrent à changer d’identité, à se cacher, à résister. Devenu fonctionnaire au CERN, il vit toujours à Genève, d’où il contribue à la mission de l’Institut Yad Vashem en recherchant et pour les récompenser les Justes ayant secouru des Juifs durant la Shoah. Ι
Lettres de lecteurs
Salut Muriel,
Je voulais simplement te dire que j'ai lu le livre. Je l'ai trouvé extrêmement intéressant. L'histoire est racontée avec simplicité, ce qui en rajoute au témoignage.
Bravo.
Amitiés, Michael
Chère Muriel,
Je voulais te dire que je viens de terminer de lire le livre de ton
père, où tu as beaucoup coopéré. Alors merci, parce que ce livre de souvenir
(raconté avec maestro, avec force détails passionnants et sur un sujet peu
raconté je crois ) est incontournable.
Ton père a fait des choses fabuleuses et c'est une très bonne idée de
l'avoir aidé à les mettre par écrit.
Je lui souhaite beaucoup de lecteurs et t'embrasse.
Marianne
Dear Muriel,
I have just finished the book -- a real tour de force, and extremely moving, especially the sections devoted to your father's beloved brother, z''l. I just read the chapter about Lyons in your father's book. What incredible bravery he and his comrades displayed!!I am so glad that I read the book, and am going to pass it on to Nadia as MUST reading.
Have a good weekend,
Sev
Conférence à l'Hôtel Bristol, Genève
vendredi 11 mai 2007
Payot Rive-Gauche: Séance de dédicaces le 19 mai 2007
Herbert Herz dédicacera son livre chez Payot Rive-Gauche dans les Rues Basses de Genève le samedi 19 mai de 15h30 à 17h.
Salon du livre à Genève, début mai 2007
Roland Zoller, journaliste à Radio-Cité, une radio genevoise, a réalisé deux émissions de radio enregistrées en public samedi 5 mai, tout d'abord en interviewant Herbert Herz et ensuite Michel Polac au sujet de leurs livres.
jeudi 10 mai 2007
Le Trauma, une clinique du Mal
Le Trauma une clinique du Mal
08 Mai 2007 | Divers
Hôpital cantonal de Genève
Programme du mardi 8 mai 2007
Mardi 8 mai 2007 | |
09:00 - 14:00 | Accueil des participants - Inscriptions, Auditoire Marcel Jenny |
ATELIERS (sur inscription) : | |
Atelier 1 : Accueil, intervention de crise et debriefing, Auditoire Marcel Jenny, niveau 0 | |
O. DUFOUR, G. HOURTON, G. RUBOVSKY, S. VIRGILLITO | |
Atelier 2 : Psychothérapies et psychodrame, Salle Opéra, niveau 0 | |
A. ANDREOLI, Y. BURNAND, MF. COCHENNEC, S. ISCHY, P. OHLENDORF, P. PRADA | |
12:00 - 14:00 | Repas |
14:00 - 14:30 | Ouverture du congrès: |
14:30 - 15:00
| Conférence inaugurale |
15:00 - 17:00 | Session Plénière 1 : Figures du mal |
D. CREMNITER (Paris) L'horreur au quotidien dans la vie d'aujourd'hui | |
V. DUBOIS (Bruxelles Expériences cambodgiennes | |
B. BIERENS DE HAAN (Paris) Nouveaux esclavages : Les intervenants humanitaires confrontés au mal radical | |
A. BOSCOBOINIK BOURQUARD(Fribourg) La chasse au bouc émissaire | |
17:00 - 17:15 | Pause |
17:15 - 18:30 | Débat : La clinique du trauma entre idéal humanitaire, économies du désastre et projet thérapeutique |
B. SARACENO (WHO-OMS), F. DUCROCQ (Lille), A. LAUBSCHER (Genève) | |
18:30 - 19:30 | Apéritif dînatoire |
19:30 - 21:30 | Conférences plénières |
vendredi 4 mai 2007
Salon du livre Genève : Emission de radio à Radio-Cité
Le stand de Radio-Cité se trouve au même endroit que l'exposition de marionnettes.
jeudi 3 mai 2007
mercredi 2 mai 2007
Conférence le 15 mai à Genève
Conférence Bnai Brith : "Mon combat en tant que juif allemand dans la résistance française"
avec M. Herbert Herz
20h30 - Hôtel Bristol
Salon du Livre Genève 2 au 6 mai 2007 à Palexpo
-Au "Chouette Espace" les éditions Porte-Plumes nous accueillent et organisent une séance de dédicaces en présence de Herbert Herz le jeudi 3 mai de 14h à 16h. (rue Balzac 4)
-Sur le stand Scrap'horizons de Mme Saïda Dasser (rue Flaubert 21)
mardi 1 mai 2007
jeudi 22 mars 2007
Café littéraire, Librairie Centrale à Ferney-Voltaire
Jeudi 26 avril 2007 à 20 heures à la librairie Centrale, 3 rue de Meyrin, Ferney-Voltaire.
Avec Herbert Herz, juif, allemand et résistant: "Je voulais que les enfants sachent".
"L’une des premières actions auxquelles j'ai participé était le sabotage de l’usine Soulage, un atelier de réparation de wagons en bordure du chemin de fer, dans un quartier sud de Grenoble. C'était par un calme dimanche après-midi. Pour entrer nous avons simplement sonné. Le concierge a entrouvert la porte. Deux d'entre nous se sont présentés:
« On vient pour l'embauche. »
« Revenez demain » a dit le concierge
« Résistance » fut la réplique, avec le revolver braqué sur le concierge. « Faites-nous entrer. »
Il n'a pas opposé de résistance. Les deux premiers d'entre nous sont entrés. Les autres ont suivi à vélo avec dans les sacs à dos, dans les sacoches, le matériel, c'est-à-dire les bombes. Et là aussi nous avons placé des bombes dans les machines pour les faire sauter. Mon propre rôle, ce jour-là, c'était de tenir le concierge en respect."
Herbert Herz, né en 1924 à Augsbourg en Bavière, raconte successivement son enfance en Allemagne, les tribulations de sa famille lors de la montée du nazisme, son émigration et sa venue à Dijon en 1934.
Rattrapé par les nazis en France dès la débâcle de 1940, il échappe de peu en 1942 à la déportation et entre en clandestinité puis s’engage dans la résistance armée au sein des FTP-MOI, les Francs-Tireurs et Partisans de la Main d’Oeuvre immigrée. Son témoignage veut contribuer à mieux faire connaître la participation des étrangers à la résistance française et parallèlement l’engagement des Juifs dans la lutte contre les hitlériens.
Les participants au café littéraire sont invités à déguster un vin (1 Euro le verre), choisi par Béatrice Dalloz des "Caves des vins de France" à Ferney-Voltaire.
lundi 19 mars 2007
vendredi 16 mars 2007
Soirée autour de la Résistance à Saint-Genis-Pouilly, le 14 .3.07
Tout d'abord un film de Claude Collin sur la Résistance FTP-MOI à Grenoble a été projeté: Etrangers et nos frères pourtant. Jean-Pierre Merlo a ensuite présenté les intervenants. Ceux-ci ont répondu aux questions de la cinquantaine de personnes présentes. Une séance de dédicace du livre de Herbert Herz a clos la soirée vers 23 h.